Le projet de loi “pour la liberté de choisir son avenir professionnel” prévoit qu’une part de la contribution des non-salariés destinée à leur formation sera orientée vers France compétences pour financer le CPF et le CEP. Un choix qui inquiète l’Agefice tant pour ce qui concerne son impact sur ses capacités à accompagner la formation des chefs d’entreprises et autoentrepreneurs, qu’au sujet de l’impact qu’il pourrait avoir sur la philosophie générale du nouveau CPF.